« Alors, tais-toi »
De ma bouche,
J’aspire à ton âme et tes faiblesses
Quand toi tu vois les miennes
Comme une menace.
Et quand tes silences enflamment mes lèvres
Comme le brûlis d’un champ devenu aphone,
J’aime te dire « alors, tais-toi », ne dis plus rien
Parce qu’à chaque mot disparu,
Naît l’espoir d’une orge d’hiver.
Avec deux Ailes
Date de parution : 29/09/2012
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