« L’auberge espagnole »
Desseins esquissés au fusain, au moindre souffle, anéantis.
Que nos maux, ces maudits maux, font naître sans fin.
Alors, je veux manger ton fruit et non celui des autres.
En cassant l’écorce des nuages et venir en toi,
Je flotte ainsi par-dessus les monts pour Être à table
Dans cette auberge vivante, habitée des odeurs d’ Esperanza.
Définitivement chez toi.
Avec deux Ailes
Date de parution : 30/09/2012
Photo sélectionnée par les administrateurs : oui
Samaya (30 octobre 2012)
toujours aussi magique!
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